Évaluation des compétences professionnelles Loi sur la surveillance financière de la construction

Évaluation des compétences professionnelles Loi sur la surveillance financière de la construction


Le Conseil d'expertise en services financiers (CDFD) a demandé à Ecorys de réaliser une analyse de la loi sur la surveillance financière. L'évaluation a permis de déterminer si la structure actuelle (introduite en 2014) répond aux principes et objectifs préalablement déterminés.

Ces dernières années, le secteur financier néerlandais a connu un manque de confiance. Avec le renforcement des dispositions en matière de soins dans la loi sur la surveillance financière (Wft), une première étape a été franchie ces dernières années pour regagner cette confiance. À cet égard, il est très important d'exiger des prestataires de services des compétences professionnelles. La structure des compétences professionnelles a été mise en œuvre le 2014er janvier 2012. L'expérience a été acquise au cours des trois dernières années, mais dans le même temps, les évolutions dans et autour des professions financières se sont poursuivies après XNUMX.

Toutes les évolutions dans et autour des professions financières soulèvent la question de savoir si les neuf qualifications professionnelles (BK) couvrent le marché financier de telle manière qu'un consommateur puisse facilement trouver et choisir le conseiller adapté à sa question. Il est également important que les consommateurs puissent être assurés qu’ils recevront des conseils appropriés. Les questions de recherche étaient les suivantes :

  1. Quelles évolutions ont eu lieu depuis 2014 et ont un impact sur la (structure) des professions financières ?
  2. Cela entraîne-t-il des changements dans les métiers de la finance ? Le contenu des métiers de la finance est-il susceptible de changer du fait des évolutions récentes ? Certains métiers ont-ils disparu ou sont devenus plus/moins importants ?
  3. Que signifient les résultats des questions de recherche 1 et 2 pour le développement des compétences professionnelles ? La structure et/ou le contenu doivent-ils y être modifiés ? Y a-t-il plus de cohérence entre les composants ?

Sur la base d’une analyse environnementale approfondie et d’un grand nombre d’entretiens, Ecorys est parvenu aux conclusions suivantes :

  • La structure n'a pas besoin d'être modifiée
  • La structure est satisfaisante
  • La structure est trop axée sur le produit
  • Les conseillers sur les marchés de niche sont surchargés
  • Il existe une tendance selon laquelle les gens deviennent des conseillers plus informatifs
  • Les compétences ne sont pas suffisamment testées
  • Les compétences ne peuvent pas être testées dans la structure
  • Les travaux de construction de la loi sur la surveillance financière constituent un minimum, les conseillers ont besoin de plus
  • Il existe une demande croissante de conseils généraux
  • La valeur ajoutée du conseil réside dans les produits complexes
  • La responsabilité de « l’exécution uniquement » doit être correctement investie

Sur cette base, des recommandations à court et à long terme ont été formulées. Le Collège a repris une partie significative des recommandations Ecorys dans son avis du 4 octobre 2017.

Le CDFD conseille de conserver intacte la structure des compétences professionnelles. Le CDFD recommande cependant un certain nombre d’évolutions législatives et réglementaires :

  1. Le module Basic ne peut plus être interprété comme une qualification professionnelle de « Consultant de base », mais uniquement comme un « Module de base ».
  2. Transfert vers les prestations d'expiration sous le module Pension
  3. Extension du module de crédit hypothécaire avec des conditions définitives et tests pour le crédit à la consommation
  4. Placer les polices d'assurance-crédit dans le règlement d'exonération Wft

En réponse à cet avis, le ministre des Finances fait savoir dans une lettre à la Deuxième Chambre qu'il compte suivre l'avis du CDFD.

10 Avril 2019

Lecture minute 2



Experts clés

Viek Verdult

Conseiller principal en gouvernance économique